Curcuma et inflammation

Il ne faut pas confondre Curcuma et Curcumine.

Le curcuma est un rhizome de la même famille botanique que le gingembre. Il est utilisé comme épice, teinture et plante médicinale depuis plus de 3000 ans !

Qu'est-ce que la Curcumine ?

La curcumine est certainement l’une des substances naturelles les plus étudiées au monde pour ses propriétés thérapeutiques.

Des propriétés incontournables sur les inflammations, parfois aigües et les articulations, les troubles digestifs, la digestion (système digestif), les douleurs, les troubles dermatologiques mais aussi sur le foie, la vésicule, la protection cellulaire, l'estomac, le système nerveux, les infections, la santé des muqueuses…

Il faut distinguer le curcuma à usage culinaire (en magasin biologique, épicerie, herboristerie) et les compléments alimentaires à base de curcuma ou curcumine. 

En effet, il est pratiquement impossible de calmer une migraine en avalant une cuillère de curcuma en poudre, par contre on peut utiliser un produit ou complément dont le dosage en curcumine est précisé.

La curcumine est l’un des principaux composés actif du curcuma et doit être optimisé afin d’en améliorer son absorption au niveau intestinal.

Même si l’on constate une amélioration après quelques jours, il est conseillé de poursuivre la prise sur un ou deux mois pour un résultat durable et de traiter le terrain en médecine fonctionnelle.  

Divers compléments alimentaires permettent la prise en charge de l’inflammation que ce soit au niveau de la peau, des articulations,  des pathologies inflammatoires… (Oméga 3 notamment DHA, EPA)

Des laboratoires proposent des compléments dont l’extrait de curcuma est optimisé, avec une concentration élevée de curcumine active et selon le complément, en synergie avec des vitamines, des plantes et des minéraux.

Il existe sous différentes formes ou préparations : Teinture mère, solution buvable, extrait de plantes, gélules, comprimés etc.

Curcuma en pharmacologie

Le curcuma a été largement utilisé à des fins thérapeutiques en médecine traditionnelle, y compris pour son activité anti-inflammatoire.

Les constituants actifs du curcuma : Alcaloïdes, les flavonoïdes et les terpénoïdes, peuvent agir sur diverses cibles afin de réduire l'inflammation, réduire la production de molécules pro-inflammatoires telles que les cytokines et de réduire le stress oxydait qui supprime par la suite les processus inflammatoires.

L'histoire des plantes médicinales ne finit pas de nous surprendre. C'est à partir des plantes qu'une bonne majorité de nos médicaments est fabriquée (Vidal). Telle que l'acide salicylique extraite de l'écorce de saules pour notre fameuse aspirine.

L'inflammation est considérée comme un processus biologique complexe déclenchée par la présence d'agents pathogènes, biologiques ou chimiques. 

Le système immunitaire est activé pour éliminer l'effet dommageable de l'inflammation.Lorsque ce dernier ne réponds pas de manière optimale, l'échec ouvre la voie à une phase chronique, conduisant à une cascade inflammatoire responsable de nombreuses pathologies :

De l'asthme chronique à la polyarthrite rhumatoïde ou maladies inflammatoires de l'intestin, du côlon (RCH, Maladie de Crohn), l'Alzheimer ou le psoriasis aux rhumatismes inflammatoires, les propriétés anti-inflammatoires du curcuma ne sont plus un secret.

L'inflammation étant malheureusement un facteur de risque de cancer. 

Les traitements

Bien que les AINS (anti-inflammatoires non stéroïdiens), les corticostéroïdes, la cortisone, l'Ibuprofène ou divers médicaments antalgiques ou anti-inflammatoires puissent être utilisés en cas d'inflammation, ils possèdent tous des effets secondaires ou indésirables. (Ulcères, perméabilité intestinale, troubles hépatiques).

L'énorme travail de recherche sur les plantes médicinales consolide l'hypothèse de l'utilisation d'extraits de plantes comme agents thérapeutiques en raison des effets synergiques de leurs constituants.

NB: Les plantes ne peuvent pas être breveté par l'industrie pharmaceutique 

Le curcuma fait partie de ces agents thérapeutiques et a fait l'objet de nombreuses études et méta-analyses sur ses pouvoirs anti-inflammatoires comparés à la corticoïdes.
Ses composés agissent de la même manière que les AINS et sont capables de réduire les médiateurs de l'inflammation. (Rougeur, douleurs, chaleur, gonflement).

Réduction d'interleukines, de TNF-a entre autres et suppression de l'action enzymatique des COX et LOX. Le curcuma réduit le métabolisme de l'acide arachidonique  et inhibe la production de NF-kB (le maître de l'inflammation). 

Conclusion sur le Curcuma

Le curcuma est un trésor dans la prise en charge de l'inflammation avec très peu d'effets indésirables ou contre indications.

D'autres études sont en cours sur leurs applications cliniques. Notamment dans l'accompagnement des cancers et en compléments des traitements chimio-thérapeutiques. Ils est largement utilisés dans la prise en charge des douleurs articulaires, les maladies auto-immunes, les pathologies digestives et cancéreuses.

Md. Mossier Rahaman; Plants (Basel) 2021 Jan;10 (1):63 - The Genus Curcuma and Inflammation: Overview of the Pharmacological Perspectives 

A utiliser en phytothérapie que sur avis de votre thérapeute ou avis médical.


Le Cassis

De manière traditionnelle, l’extrait de feuilles de cassis est reconnu pour ses propriétés diurétiques intéressantes. Parmi tous les bienfaits de la feuille de cassis, les bourgeons présentent également une action anti-inflammatoire encore plus importante.

Il est utilisé en phytothérapie pour ses propriétés antiarthritiques et antiinflammatoire avec une action drainante et ses propriétés anti-inflammatoires à tropisme respiratoire (ORL).

Compte tenu de son potentiel anti-inflammatoire et décongestionnant, il est souvent utilisé contre les rhumes et les maux de gorge. Les feuilles permettent de lutter contre les phénomènes allergiques tel que l’urticaire et traiter les problèmes de goutte. Le cassis a aussi une action anti-oxydante.

Diverses présentations sont utilisées en fonction  des troubles rencontrés. Bourgeons, feuilles en infusion, macérât.

« Les propriétés thérapeutiques du cassis dépendent d’un procédé d’extraction grâce auquel les actifs de la plante sont précieusement conservés » IESV.

Consultez votre thérapeute ou médecin traitant pour les conseils d’utilisations spécifiques du cassis.


Bardane

La bardane est une plante médicinale très ancienne. Les propriétés de la bardane s’appliquent surtout à la dermatologie.

La bardane possède des propriétés antiinflammatoires. Au niveau cutané, la racine est utilisée de manière traditionnelle pour réguler la sécrétion de sébum.

La bardane est la plante des éruptions cutanées à tendance suintante : Dermatoses surinfectées, acné surinfecté de l’adolescent, eczéma, urticaire et autres affections cutanées.  

Elle est utilisée de manière traditionnelle pour ses effets sur les fonctions rénales et hépatiques. En stimulant le foie, elle soulage la peau des toxines et assainit les pores. Désinfectant, dépuratif, draineur, diverses présentations sont proposées (teinture, gélule, pommade, tisane…)

Préférez-la sous forme d’EPS (Extrait de plantes standardisées).  

A nouveau, contactez votre praticien ou médecin de famille pour les précautions d’emploi et contre-indications.


Le syndrome dysphorique prémenstruel

Le Syndrome Dysphorique Prémenstruel

« Il suffit d’un atome pour troubler l’œil de l’esprit » disait William Shakespeare, mais que peut-on dire de ces troubles parfois sévères qui amènent des femmes à repenser leur rendez-vous, leur vie sociale, leur emploi, leur relation, leurs vacances, leur agenda, leur vie, en fonction d’une petite semaine dans un cycle menstruel qui va bouleverser leur quotidien, leurs émotions, leur corps ?

Bien que la majorité des femmes ressentent à divers degrés les symptômes menstruels :

Connaissez-vous la version particulièrement sévère de ces troubles qui touchent surtout l’humeur, qui vont de l’irritabilité majeure à l’anxiété généralisée parfois associée à un syndrome dépressif intense avant le déclenchement des règles et s’estompent par enchantement lorsque celles-ci débutent ?…

Le syndrome dysphorique prémenstruel ou TDPM

Selon la définition du syndrome prémenstruel dans le livre Gynécologie et obstétrique de Masson, une femme sur trois ressent dans la semaine qui précède ses règles une sensation de congestion plus ou moins intense des seins et de l’abdomen appelée syndrome prémenstruel.

La patiente consulte pour des manifestations cliniques variées : congestives, nerveuses, viscérales.

Il est impossible d’attribuer à une seule hormone la responsabilité du syndrome prémenstruel.

Toutefois, un élément domine indiscutablement la pathogénie : Le déséquilibre oestroprogestatif dû à une insuffisance lutéale et à une insuffisance de la détoxication hépatique des oestrogènes qui crée une hyper-oestrogénie.

On retrouve également les déficits en Sérotonine, en magnésium, en calcium, en acide gras essentiels… etc.

Des perturbations du microbiote intestinal

Un rapport à la femme, féminité, la mère…

 Les symptômes les plus communément rapportés d’un syndrome prémenstruel sont :

  • Les symptômes physiques :

Fatigue, mastodynie ou tension mammaire, rétention hydrosodée, ballonnement abdominal, troubles digestifs, prise de poids, acné, migraine cataméniale, tension pelvienne, irritation du mamelon et constipation.

  • Les symptômes psychologiques n’interférant pas avec la vie au quotidien

 Les symptômes rapportés d’un syndrome dysphorique prémenstruel sont d’ordre neuropsychiques :

  • Anxiété, colère, dépression, irritabilité exacerbés
  • Diminution de l'aptitude de concentration, mémorisation
  • Troubles du sommeil avec hypersomnie ou insomnie
  • Modification de la libido et Hypersensibilité au rejet
  • Modification de l'appétit avec boulimies (craving pour les sucreries)
  • Incapacité de fonctionner en milieu social ou familial
  • Idées noires
  • Tentative de suicide
  • Désespoir
  • Troubles de l’humeur aggravé

Approche thérapeutique :

La difficulté de l’observance des traitements est souvent liée au phénomène cyclique du TDPM. C’est vraisemblablement sur le long terme et sur la régularité que l’on obtiendra des résultats satisfaisants.

Ne voir l’alimentation que sous forme d’un cumul de calories apportées par les protides, lipides et glucides est une grave erreur. Une santé prémenstruelle commence par une bonne hygiène de vie.

L’alimentation a un impact direct sur une multitude d’hormones qui conditionnent notre état de santé en particulier l’apparition du syndrome prémenstruel ou le TDPM.

  • Optimiser la détoxificiation des oestrogènes ou fonction hépatique
  • Corriger une possible dysbiose qui augmente le climat oestrogénique
  • Optimiser la santé intestinale garante de notre santé psychique et hormonale
  • Analyser les diverses carences par la médecine à 4 P (Participative, préventive, personnalisé et prédictive).
  • Analyser le statut micronutritionnel notamment le statut martial (Fer) dans la prise en charge de ce syndrome souvent en lien avec une carence fonctionnelle de fer (sans anémie) rarement prise en charge en médecine allopathique.

Une prise en charge globale est indispensable pour diminuer la symptomatique de ces patientes.

Voir publications de Laurence Fuhrmann sur le TDMP sur ce site page 17 ou autres magasines

RDV Crenolibre en visio (France/Dom TOM) ou en cabinet

 


Les allergies

Les allergies

Elle se manifeste de multiples façons : troubles respiratoires, écoulement nasal et oculaire, éternuements, eczéma, démangeaisons… dans tous les cas, le corps exprime son mécontentement. Parfois une supplémentation peut être la seule façon de soulager une allergie car elle traite le terrain et pas seulement les symptômes.

L’allergie est fréquemment d’origine digestive comme tendent à le montrer de multiples études qui mettent en avant le rôle essentiel du microbiote intestinal.

Quelques recommandations :

  • Méfiez-vous des produits laitiers et ceux à base de blé
  • Soulager votre foie en mangeant le plus sain possible (Eliminer les mauvaises graisses, les sucres raffinés, l’alcool, les biscuits et plats préparés, les additifs et la liste est longue !…)
  • Tenez-vous à distance des substances allergènes…

Afin d’améliorer les terrains allergiques, la naturopathie applique différentes cures pour optimiser les processus biologiques, en appliquant des réformes, des conseils individualisés associant des réglages alimentaires, drainages, gestion du stress…

Un bilan biologique peut apporter de précieuses informations sur de possibles intolérances alimentaires, carences vitaminiques qui aggraveraient les allergies alimentaires, respiratoires et cutanées.


La barrière intestinale

Microbiote et barrière intestinale

« Toutes les maladies commencent dans l’intestin » Hippocrates (460-370 av. J.C.)

Il y a longtemps que je suis fascinée par les liens unissant intestins et certaines pathologies.

Le principe est simple :

Une membrane intestinale dépend de sa capacité à filtrer les molécules contenues dans sa lumière (intestins). Si elle est enflammée, elle devient poreuse et laisse passer de plus grosses molécules qui, à l’état normal, ne devraient pas.

L’introduction de ces particules agressives ou étrangères à notre corps est toxique, générant un déséquilibre et l’arrivée d’une maladie.

Il faut alors modifier son mode alimentaire :

  1. Réduction des sucres raffinés, des produits transformés
  2. Réduction des toxiques
  3. Réduction du stress
  4. Correction d’une éventuelle dysbiose intestinale et intolérances alimentaires

Un exemple pertinent :

La production intestinale de sérotonine et de mélatonine dépasserait largement ce que le cerveau sécrète, d’où l’importance des troubles digestifs non seulement sur notre santé physique, mais aussi sur le fonctionnement de notre cerveau et notre santé émotionnelle.

Notre système digestif abrite l’une des plus grandes colonies microbiennes de l’organisme :

Leurs nombreuses fonctions sont importantes et si les bactéries bénéfiques de l’intestin sont endommagées, les remparts de notre intestin ne nous protègent plus contre l’envahisseur. Cette situation se rencontre fréquemment dans les troubles intestinaux dont je parle pendant mes conférences (Voir sur ce site les prochaines dates sous formations particuliers ou professionnels).

La flore intestinale représente normalement une source importante de nourriture et d’énergie pour les cellules qui tapissent le tube digestif.

Lorsque la flore se dégrade, l’altération de la paroi digestive apparait. Tout ceci provoque des changements portant atteinte aux capacités de digestion et d’absorption des nutriments.

« La flore intestinale est donc le garant de notre système digestif ».

  • Elle entraîne la fermentation des glucides et décompose les lipides et les fibres.
  • Est un pilier de défense immunitaire
  • Empêche la prolifération de mauvaises bactéries
  • Intervient dans la production de vitamines et d’enzymes
  • Participe à la bonne santé cellulaire de notre colon

En résumé, un intestin fonctionnant normalement, doté d’une flore intestinale saine, est toujours garant d’une bonne santé.

Tout comme un arbre dont les racines seraient malades, le corps humain ne peut s’épanouir sans un système digestif sain.

« La flore intestinale remplit des fonctions similaires aux racines d’un arbre, apportant au corps des éléments vitaux ». (Dr natasha Campbell-Mc Bridge)

 Préserver son microbiote :

  • Consommer des fibres alimentaires pour nourrir les bonnes bactéries
  • Eviter les produits transformés, non biologiques gorgés de pesticides
  • Eviter la prise d’antiacides tels que les IPP
  • Mastiquer, mastiquer et mastiquer
  • Consommer des petits poissons gras et des compléments riches en bactéries de bonne qualité

La prise en charge en médecine fonctionnelle ou en naturopathie tend à considérer le patient dans sa globalité.

Il s’agit d’adapter un traitement ou des conseils en fonction des caractéristiques individuelles de chaque personne

On parle ici de la médecine 4P pour :

  • Personnalisée : Chaque personne est unique (profil génétique, environnemental, âge etc.)
  • Préventive : L’éducation vise à réduire les risques des maladies (on parle ici de prévention primaire) ou de corriger (prévention secondaire)
  • Prédictive : En établissant des bilans biologiques spécifiques, en évaluant les facteurs de risques de développer une maladie et les antécédents familiaux et personnels
  • Participative : les patients sont acteurs de leur santé et de leurs soins !

Pour plus de renseignements : Micronutrition et santé 


Les omega 3

Les omega 3

Les acides gras sont des éléments qui forment les graisses. Ainsi, le beurre, l’huile ou le gras d’une entrecôte sont constitués d’acides gras. C’est leur composition et leur proportion dans l’organisme qui les rend « bons » ou « mauvais ». Les oméga 3, 6 et 9 peuvent être proposés dans des compléments alimentaires et son retrouvés dans certaines huiles végétales, les poissons…

Nous parlerons ici des oméga 3. Ceux-ci participent à la fabrication des prostaglandines de la série 3 qui diminuent l’importance des réactions inflammatoires et allergiques et réduisent le risque des maladies cardio-vasculaires (Baisse du mauvais cholestérol, de l’agrégation plaquettaire et des risques de thrombose…).

Ils ont un rôle primordial dans la constitution des membranes cellulaires et en particulier au niveau du système nerveux périphérique, du cerveau (structure des neurones) et de la rétine.

Sources principales d’oméga 3 : Poissons gras (maquereau, saumon, anchois, sardine, hareng, truite), huile végétale : huile de lin, germe de blé, cameline, chanvre, noix…

En pratique, essayez d’introduire dans votre alimentation des huiles végétales telles que l’huile de lin ou de cameline dans vos salades, vos préparations, à raison de 2 à 3 cuillères à soupe par jour pour un adulte. Vous découvrirez des goûts surprenants !

(Attention à la cuisson, certaines huiles sont résistantes à la chaleur, d’autres non. Les huiles citées ci-dessus doivent être conservées au réfrigérateur et ne doivent pas être chauffées). En pratique utilisez l’huile d’olive pour la cuisson (sans atteindre le point de fumée !)

Consommez du poisson gras deux à trois fois par semaine… L’idéal étant de les consommer crus en marinade ou cuit à faible température…

« Stop aux régimes où l’huile est considérée comme un aliment néfaste. L’huile est un aliment à part entière... Arrêtons la phobie du gras » ! Je vous recommande le livre d’Hélène Lemaire « Le bonheur est dans les huiles »


L'intérêt de la biologie préventive

Bilans biologiques spécifiques

De nombreux laboratoires proposent divers panels d’analyses biologiques spécifiques ayant des indications bien définies. Je travaille avec deux d’entre eux.

Il s’agit de bilans biologiques adaptés à des situations critiques pour permettre de mettre en évidence :

Des carences et de fines variations des valeurs des vitamines, oligo-éléments, minéraux, de dysfonctionnements, de déséquilibres micronutritionnels liés à l’âge, au régime alimentaire et aux polymorphismes génétiques.

Ces outils permettent d’adapter au mieux les compléments alimentaires, futurs traitements et optimiser votre hygiène de vie.

La biologie d’investigation préventive est un outil de référence que je propose à mes patients. Il me permet d’optimiser la prise en charge de manière individualisée et rigoureuse en associant des recommandations alimentaires et complémentaires sur mesure spécifique et personnalisée.

Je travaille avec un comité scientifique de haut niveau constitué de professionnels de haute renommée en médecine fonctionnelle et nutritionnelle.

Quelques exemples de bilans :

  • Bilan système nerveux central et neuro
  • Bilan cardiovasculaire et métabolique
  • Le Statut en acide gras (Oméga 3-6-9 et saturés)
  • Bilan appréciant l’équilibre immunitaire
  • Des bilans de prévention du vieillissement
  • Des bilans du microbiote intestinal qui permettent une approche thérapeutique spécifique de l’état fonctionnel digestif (Activité des micro-organismes de type bactérien ou fongique : Leur augmentation reflétant une prolifération anormale de micro-organismes du type Candida)
  • Une analyse métagénomique : un outil performant permettant l'évaluation précise, quantitative et qualitative des bactéries intestinales responsables de bien de troubles tels que l’obésité, la dépression, le syndrome de l’intestin irritable ou colopathie fonctionnelle (voir formation particulier sur ce site)
  • Un bilan complet de première intention qui permet une approche globale des désordres nutritionnels : Acide gras, stress oxydatif, carences en oligo-éléments, risques cardio-vasculaires, intolérances alimentaire à l’origine d’une perturbation de la barrière intestinale…)
  • Bilan anxiété, dépression et Burnout (Et si nous manquions de cofacteurs ou éléments indispensables à la fabrication ou synthèse de l’hormone de l’apaisement, La sérotonine ou de la mémorisation/concentration la dopamine ?)

2 rendez-vous sont nécessaires :

  1. Un rdv de bilan général de naturopathie : Conseil d’analyses à réaliser
  2. Un rdv de suivi pour l’analyse complète et détaillée des résultats des bilans et remise du dossier (Conseils micro-nutritionnel, hygiène alimentaire et de vie).
  3. Une visite de contrôle afin d’adapter les conseils à 2 mois est recommandé